dimanche 19 octobre 2014

Bénin : Wildaf outille une vingtaine de journalistes sur le Blogging



 
Photo de famille des journalistes ayant participé à cette formation
Former les journalistes sur l’écriture web et les amener à avoir un blog pour la publication ou la diffusion des informations. Tel est l’objectif poursuivi par Wildaf en initiant cet atelier de formation de 72 heures qui s’est déroulé à Sun Beach Hôtel à Cotonou. Soutenu par l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (Ipao), cet atelier a réuni du 15 au 17 octobre, une vingtaine de journalistes radio et de la presse écrite. Pour Fernand Nouwligbèto, formateur en écriture web, la rédaction d’un article web et celle classique ont des points communs et divergents. comme points commun, il a cité entre autres : l’existence d’un sujet, d’un angle de rédaction… comme point divergents, il a cité entre autres, le support de diffusion, la précision et la concision d’un article web. «Un article web doit être précis et concis car, l’internaute n’a pas assez de temps à vous consacrer», a-t-il expliqué.
Concernant la diffusion des articles web, les participants ont été formés sur la création et l’animation d’un blog. Pour Igor Koucoï, formateur dans ce domaine, un blog permet au journaliste de contourner les censures instaurées dans des rédactions. Ainsi, chaque journaliste présent à cette formation a pu créer son blog avec un nom facilement détecté par tout moteur de recherche. Il a aussi appris aux journalistes l’utilisation efficace des réseaux sociaux tels que Twitter et Face Book. Le formateur aussi permis aux participants de découvrir des services fournis par Google tel google
Drive, gmail… Pour Geneviève Boko Nadjo, présidente de Wildaf, cette formation initiée pour la veille citoyenne est venue à point nommé. «Les médias classiques ne suffisent plus pour la diffusion des informations. Les réseaux sociaux viennent en renfort pour faire circuler l’information dans un laps de temps. Les journalistes doivent alors maîtriser cet outil indispensable et incontournable de nos jours», a-t-elle conclu.

Isac A. YAÏ


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